Dans Colt Express, les joueurs incarnent des bandits “desperados” qui se lancent à l'attaque d'un train de voyageurs. Vous êtes un hors-la-loi au beau milieu du Far West et vous partez à l'assaut d'une locomotive. L'entreprise est périlleuse et l'issue peut vous être fatale. Votre but est de descendre du tain vivant et avec le plus gros butin. L'ennui est que vous êtes pas le seul malfrat à lorgner sur toutes ses richesses à portée de main. Pas de pitié et aucune alliance possible. C'est chacun pour soi !
La partie est lancée, le jeu promet d'être rude. Entre les wagons, sur le toit, les balles fusent ; les hors-la-loi sont blessés. Le Marshall patrouille dans le train, contre-carre les plans des bandits et tente de faire régner l'Ordre et la Loi. Il est un danger supplémentaire. Un danger qui peut vous envoyer en prison ou entre quatre planches.
Une manche se décompose en différentes phases :
Programmation en commun: les joueurs planifient leurs mouvements en programmant leurs cartes action sur une pile commune.
Déplacement : les bandits se déplacent d’un wagon à l’autre, ou de l’intérieur d’un wagon vers le toit dans un train en 3D.
Pouvoirs spéciaux : chaque joueur possède une capacité spéciale en lien avec la personnalité de son bandit : le sniper, la lady, la voleuse...
Événement : chaque manche est jouée selon des règles différentes, suivant la carte événement spécial tirée au début de manche.
Afin de sortir victorieux de cette folle entreprise, gérez au mieux vos déplacements, montez et descendez du train, ramassez des butins (mallette, bourses, joyaux), donnez des coups de poing, déplacez le shérif et surtout tirez. Votre arme sera votre plus fidèle amie.
Qui obtiendra le titre d'As de la gâchette (et la prime qui l'accompagne) ? Qui aura le plus gros butin ? Chacun a sa propre personnalité, mais au bout du compte, tous n'ont qu'un seul but : réunir le plus gros magot pour lui-même en détroussant les passagers avant que le train n'arrive en gare.
Afin de vous permettre de plonger pleinement dans cette aventure rocambolesque, le « plateau » est matérialisé par un train en 3D et les gangsters par des petits meeples en bois.
